**TI82** TxtView file generated by CalcText - Kouri¸E ©EFiscalin©E§EÿFinancial Scale*Les charges d’exploitation R = CA-CT R= résultat CA= chiffre d’affaire CT= coûts ou charges totaux CA= SPVi . Qi PVi = prixde vente unitaire du produit i Qi = q vendue du produit i CT = S(Qi . CVi) + CF CVi = coût variable unitaire du produit i CF = coûts fixes R = SQi . (PVi – CVi) –CF SQi . (PVi – Cvi) > CF Variation de stocks = CTP – CT CTP = coûts totaux CT = coûts totaux ayant contribués à la formation du CA E = Rr – Rp r se réfère aux données réelles p se réfère aux données provisionnelles amortissement technique : ((valeur de remplacement – valeur de revente))sur durée d’utilisation *Charges directes/indirectes Charge directe : tout coût directement en rapport au premier degré et sans hésitation avec l’existence du produit Charge indirecte : tout coût ne rentrant pas dans la première catégorie *Charges variables/fixes Charge variable : charge dont le montant varie proportionnellement au nombre d’unités de produit fabriquées ou le niveau de services prestés au près du client Charges fixes : charges dont le montant ne varie pas en fonction du niveau d’activité. Charges correspondant à l’utilisation de ressources contribuant à créer la structure nécessaire de l’entreprise soit d’exercer son activité *Les systèmes de compta analytique Le plan comptable analytique : - l’étude de l’organigramme de l’entreprise - le processus de production - le degré de détail des données analytiques - l’organisation administrative de l’entreprise Catégories de comptes analytiques : 1 les comptes réfléchis : liaison entre la compta générale et la compta de gestion permettant la prise en compte des données issues de la compta gén. Ils sont crédités par le débit d’autres comptes de la classe 9 dans l’attente de l’imputation aux utilisateurs (comptes de la classe 8) 2 les comptes de régularisation : ayant pour but de réguler l’imputation de certaines charges vers les différents utilisateurs. les comptes de répartition : ayant pour objectif de répartir entre les utilisateurs certaines dépenses prises en considération de manière globale en comptabilité générale telles que les rémunérations ou les coûts de force motrice. Les comptes de régularisation : ayant pour mission de rendre régulière l’incidence de certaines charges dont l’enregistrement comptable au cours d’une période donnée ne justifie pas son incorporation totale au prix de revient de cette période (charges sociales, assurances, impôts et taxes annuels, etc) Les comptes de différence d’incorporation : recevoir les différences de montants relatives à certaines charges n’étant pas prises en considération de la même manière dans les 2 comptabilités. 3 les comptes de la classe 8 : comprend les comptes de prix de revient et les comptes de regroupement fonctionnels. But : - imputer au prix de revient de la façon la plus correcte possible les charges qui ne peuvent être directement imputées au prix de revient. - connaître le coût des différentes fonctions ou sections de l’entreprise. Découpage de l’entreprise en minimum 3 fonctions : production, Administration, Marketing Cellule : - entité technique d’activités homogènes - sous la responsabilité d’une seule personne - un volume raisonnablement élevé de dépenses facilement Enregistrables => 3catégories de cellules : Les cellules opérationnelles ou principales ayant trait à la production proprement dite et dont les coûts sont imputés au prix de revient au moyen d’unités mesurables Les cellules coopérantes : dont le coût n’a pas de corrélation directe avec la production et qui est réparti sur les utilisateurs via des clés de répartition préétablies Les cellules auxiliaires : dont les coûts non directement corrélés à la production peuvent néanmoins être imputés aux utilisateurs par l’intermédiaire d’unités d’œuvre. *Les stocks 1) les entrées Elles sont valorisées à leur valeur d’acquisition : a) le prix d’acquisition (si les biens sont acquis de l’extérieur) - le prix d’achat fixé par le fournisseur - les frais accessoires - la valeur des prestations effectuées par l’entreprise pour l’approvisionnement du magasin b) le coût de revient (si les biens sont fabriqués par l’entreprise) - le prix d’acquisition des matières entrant dans le produit final - les coûts de transformation - les charges financières afférentes aux capitaux empruntés en vue de Financer l’acquisition, la construction ou la fabrication des stocks c) commandes en cours d’exécution le coût de revient peut être majoré de la marge bénéficiaire acquise sur base de l’état d’avancement de la commande, à la condition que l’excédent soit devenu raisonnablement certain d) apports la valeur d’acquisition des entrées de stocks est la valeur conventionnelle des apports pour peu que celle-ci ne dépasse pas la valeur du marché auquel cas, c’est cette dernière qui est utilisée 2 les sorties a) inventaire physique de fin de période -> biens facilement mesurables et peu nombreux consommation de la période = stock initial + entrées de la période – stock final b) lorsque les matières ne sont pas facilement mesurables, l’estimation des quantités consommées peut se faire sur base : - moyen de transport ou du contenant : pour sortir les matières consommées du magasin de stockage au cours de la période Consommation de la période : Q de matière par unité de contenant . nbr d’unités de contenant utilisés - base des quantités produites au cours de la période comptable Consommation de la période = Q de matières par unité de production fini x le nombre d’unités de production fabriquées c) bons de livraison ou de sortie (-> nbr élevé de matières différentes) : - référence du destinataire - nature des marchandises demandées - quantité de marchandises demandées - quantité de marchandises effectivement fournies - coût unitaire de la marchandise a) l’individualisation du prix de chaque élément : mettre à jour le prix d’achat de chaque article en stock via un administration détaillée ou grâce à l’inscription du prix d’achat sur chaque article b)la valorisation du coût moyen : prix moyen pondéré des biens en stock : (valeur du stock initial + valeur des entrées de la période)/(volume du stock initial + volume des entrées de la période) Le coût moyen peut être calculé après chaque mouvement ou périodiquement c) la méthode par lots -> LIFO -> FIFO 3) compte d’inventaire permanent a) classement des stocks de matière -> matières premières -> matières auxiliaires ou de consommation -> marchandises ou travaux en cours de fabrication -> les produits finis b) fonctionnement des comptes d’inventaire permanent les comptes d’inventaire permanent sont : - en début de période de la valeur du stock initial par le crédit du compte de stock initial réfléchi. 980 inventaire permanent des MP 981 inventaire permanent des M aux À 900.0 compte réfléchi des MP 900.1 compte réfléchi des M aux - en fin de période, de la valeur des entrées physiques en stock par le crédit soit des comptes réfléchis adéquats, soit des comptes de prix de revient appropriés pour ce qu’est des stocks de produits finis. 980 inventaire permanent des MP 981 inventaire permanent des MA À 900.0 compte réfléchi des MP 900.1 compte réfléchi des MA 983 inventaire permanent des produits finis À 890 fabrication Les comptes d’inventaire permanent sont crédités de la valeur des sorties de magasin par le crédit - compte de prix de revient 890 fabrication À 980 inventaire permanent des MP - comptes des sections utilisatrices pour les sorties de matière 80/88 sectionsutilisatrices À 981 inventaire permanent des MA - comptes réfléchis correspondants en cas de retour de marchandises aux fournisseurs 900.x compte réfléchi À 98.x inventaire permanent *Les services et biens divers 2) comptabilisation Reprise de la compta générale 971 services et biens divers imputés À 901 compte réfléchi des biens et services divers Enregistrement des utilisateurs réelles de services et biens divers par les sections 80/88 sections utilisatrices À 971 services et biens divers imputés Si la compta analytique a enregistré moins de frais que la compta générale, le solde du compte services et biens imputés est débiteur et le montant transféré au débit du compte d’ Ecarts d’incorporation avec la compta générale : 994 Ecarts d’incorporation avec la compta générale À 971 services et biens divers imputés Dans le cas où la compta analytique a enregistré plus de frais que la compta générale, le solde du compte services et biens imputés est créditeur et le montant transféré au crédit du compte d’ écarts d’incorporation avec la C gén. 971 services et biens divers imputés À 994 ecarts d’incorporation avec la C Gén *Les rémunérations 3) détermination des coûts de main d’œuvre - coût horaire moyen : frais de personnel de la période sur Temps de présence de la période - coût de la main d’œuvre du service Y : coût horaire moyen x prestations - coefficient de charges sociales : calcul des indemnités 4) comptabilisation Reprise de la C gén 972 rémunérations, charges sociales et pensions réparties À 902 compte réfléchi rém et pensions réparties Imputation des coûts de main d’œuvre aux sections 80/88 sections utilisatrices 89 compte de prix de revient À 972 rémunérations, charges sociales et pensions réparties Si la compta analytique a enregistré moins de frais 994 écarts d’incorporation avec la C gén À 972rémunérations,charges sociales et pensions imputés Si la compta analytique a enregistré plus de frais 972 rémunérations, charges sociales et pensions réparties À 994 écarts d’incorporation avec la compta gén Coefficient de charges : - enregistrement des rémunérations et des charges sociales et indemnités réelles 972 rém, ch soc, pensions imputées (rém brute) 941 compte de régularisation des ch soc À 902 compte réfléchi rém et pensions réparties - imputation des rémunérations brutes aux services utilisateurs 80/88 sections utilisatrices 89 compte de prix de revient À 972 rém, ch soc et pensions réparties - imputation des charges sociales et des indemnités aux services utilisateurs par l’application du coefficient des charges sociales 80/88 sections utilisatrices 89 compte de prix de revient À 941 compte de régularisation des charges sociales - imputation de la différence entre les indemnités réelles et les indemnités calculées via le coefficient de charges sociales 941 compte de régularisation des charges sociales À 994 Ecarts d’incorporation avec la compta gén - imputation des écarts d’incorporation en résultat 994 Ecarts d’incorporation avec la compta gén À 990 résultat analytique *Les amortissements et réductions de valeur 2) comptabilisation Reprise de la compta gén 973 amrts imputés 974 réductions de valeur imputées À 903 compte réfléchi des amrts, rdt de valeur et provisions pour risques et charges Imputation des amortissements et réductions de valeur aux cellules utilisatrices 80/88 sections utilisatrices 89 compte de prix de revient À 973 amortissements imputés 974 réductions de valeur imputées Si la compta analytique a enregistrée moins de frais 994 écarts d’incorporation avec la compta gén À 973 amortissements imputés 974 réductions de valeur imputées Si la compta analytique a enregistré plus de frais 973 amortissements imputés 974 réductions de valeur imputées À 994 Ecarts d’incorporation avec la C gén *Les provisions pour risques et charges 1) pas de différence entre le montant des provisions enregistrées en compta générale et celles imputées aux utilisateurs en compta analytique, le passage par un compte de répartition n’est pas nécessaire Mensuellement : 80/88 sections À 903 compte réfléchi des amrts, réd de valeur et provisions pour risques et charges 2) lors de l’exécution des travaux, le supplément éventuel est imputé aux sections par la même écriture (ci-dessus) 3) si les travaux ont été effectués partiellement en interne, l’établissement d’un décompte de prestations internes impose de procéder aux enregistrements suivants pour la part de la dépense réalisée en interne : Reprise du montant enregistré en compta gén : 912 compta réfléchi pour travaux internes À 898 travaux pour compte propre Identification de la section ayant procédé aux travaux 898 travaux pour compta propre À 801 section entretien *En cours de fabrication 1) définition - = matières devant subir encore 1 ou plusieurs étapes de transformation avant d’aboutir au produit final. Coût de la production du mois : valeur des en cours de début de mois+ charges d’exploitation du mois- valeur des en cours de fin de mois L’en cours comptable de fin de période est équivalent à l’en cours comptable de début de période de la période suivante. 2) évaluation -> estimer le volume de produits encore en cours de transformation en fin de période a) en cours comptable se référant à l’unité d’entrée :quantité de matières premières se trouvant encore dans le processus de transformation à la fin de la période comptable Ket =en cours physique de fin de période sur (En cours physique de début de période + entrées de la période) Valeur de l’en cours de fin de période = Ket . charges totales de la période Valeur de la production de la période= (1- Ket) . charges totales de la période b) en cours comptable se référant à l’unité de sortie : -> évalué en unités physiques de produits finis. Ket = en cours physique de fin de période sur (Production de la période + en cours physique de fin de période) Valeur de l’en cours de fin de période= Ket . charges totales de la période Valeur de la production de la période = (1 – Ket) . charges totales de la période c) en cours comptable constant : -> lorsque l’en cours physique présente un volume constant dans le temps, le coefficient d’en cours technique est calculé une fois pour toute et appliqué chaque mois sur le montant des charges totales d’exploitation de la période. *Qualités différentes d’un produit 1) résultat proportionnel à la quantité vendue : -> marge bénéficiaire unitaire moyenne Mu= (SVi . qi - PRV)/Sqi Vi = prix de vente de la qualité i Qi = quantité vendue de la qualité i PRV = prix de revient des ventes total 2) résultat proportionnel au chiffre d’affaires : -> coefficient de rajustement, liaison entre résultat et chiffre d’affaires Kr = PRV/(SVi. qi) PRV = Kr . Vi 3) prix de revient calculé sans signification : Si une qualité de produit a un prix de vente unitaire très inférieur à ceux des quantités supérieures = SOUS-PRODUIT *Cessions de prestations entre centres 2) prestations entre centres sans réciprocité : Ecritures : charges indirectes : 831 section industrielle 802 frais de transport interne À 801 frais d’entretien 831 section industrielle 804 frais de distribution d’électricité À 802 frais de transport interne 831 section industrielle À 804 frais de distribution d’électricité *méthode des coûts variables ou direct costing principes généraux -> charges variables : frais dont le volume est directement lié au volume de production -> charges fixes : frais dont le montant n’est pas en relation directe avec le volume de la production (ou des ventes) lorsque celui-ci reste dans une fourchette déterminée Le principe de la méthode de direct costing consiste à imputer les charges variables au produit alors que les charges fixes sont portées en résultat Règles : -> il est opéré une discrimination entre les charges variables (ou proportionnelles) et les charges fixes (ou permanentes ou de période) -> la rentabilité d’un produit est évaluée sur base de sa contribution à la couverture des charges fixes et du résultat produit. -> chaque cadre de division est responsable des charges sur lesquelles il peut avoir une action => segmentation de l’entreprise *Schémas de détermination du prix de revient 1) schéma de base -> marge brute = CA-CV Résultat de la période = MB-CF a) entreprise monosegment : CA-CV=MB MB-CF= R Marge brute est la contribution à la couverture des frais fixes. b) entreprises à plusieurs segments : -> on fait de même avec chaque segment 2) forme évoluée CA- coûts directs des ventes = marge brute- charges de période spécifiques au segment = marge semi-brute- coûts de période communes = résultat d’exploitation La marge semi-brute est la contribution de chaque segment à la couverture des charges communes et au bénéfice 3) forme perfectionnée -> détermination du résultat par la mise en évidence, par fonction, des coûts variables et des coûts spécifiques de structure qui comprennent d’une part, les charges fixes de fonctionnement spécifiques au segment et, d’autre part, les charges stratégiques spécifiques. --comptabilisation Pour chaque segment : - un compte de charges variables : 890.1,2, … charges variables- segment 1,2, … - un compte de charges fixes spécifiques : 891.1,2, … charges fixes spécifiques – segment 1,2, … - un compte de prix de revient des ventes : 990.1,2, … prix de revient des ventes – segment 1,2,… - un compte réfléchi des ventes : 910.1,2, … compte réfléchi des produits vendus – segment 1,2, … - un compte de marge brute : 991.1,2, … marge brute – segment 1,2, … - un compte de marge semi-brute : 992.1,2, … marge semi-brute – segment 1,2,…ÿÙ: